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  1. Business school. Location. Paris, France. Alumnae. 4 500. Website. Alumni association. Haut Enseignement Commercial pour les jeunes filles, also called HEC jeunes filles, was named after HEC, the most famous French business school. HECJF is a state recognized degree in France.

  2. Fondatrice. Louli Sanua. Site web. www.hecalumni.fr. modifier - modifier le code - modifier Wikidata. L'École de Haut enseignement commercial pour les jeunes filles, ou HEC Jeunes Filles est une école supérieure de commerce et de gestion française, réservée aux femmes, qui fonctionne de 1916 à 1975.

  3. 3Cette École, créée pendant la guerre, va acquérir une grande réputation et, sous le nom d’H.E.C. Jeunes filles (H.E.C.-J.F.) former pendant près de soixante ans, plusieurs milliers de jeunes femmes, grâce à la personnalité hors du commun de celle qui l’a conçue, Louli Sanua.

  4. Le parcours exceptionnel de la fondatrice de l’École de Haut enseignement commercial-Jeunes filles (HEC-JF), Louli Sanua, est ainsi étudié par Marielle Delorme-Hoechstetter qui met en lumière le solide réseau de soutiens politiques et éducatifs que l’institutrice, féministe, membre du Conseil national des femmes françaises, réussit ...

  5. Created in 1916, the Ecole de Haut Enseignement Commercial pour les Jeunes Filles (HECJF) – a business school for young women – was, in the words of its founder, Mrs Louli Sanua (seen in the photo giving a secretarial class), a direct response “to the need to give women an education that will enable them to earn their living in all the possible ...

  6. L'École de Haut enseignement commercial pour les jeunes filles, ou HEC Jeunes Filles est une école supérieure de commerce et de gestion française, réservée aux femmes, qui fonctionne de 1916 à 1975. Faits en bref Fondation, Dissolution ... HEC Jeunes Filles. modifier - modifier le code - modifier Wikidata. Fermer. Oops something went wrong:

  7. H. E. C. JEUNES FILLES S'il est un fait qui caractérise bien, parmi d'autres, le temps d'aujourd'hui, c'est le travail des femmes. Sans doute, on ne s'en étonne plus et le cas d'une certaine Madeleine Brès qui dut, en 1868, demander, avec l'appui de l'Impératrice Eugénie, au Conseil