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  1. Jean Baptiste Perrin (Lilla, 30 settembre 1870 – New York, 17 aprile 1942) è stato un fisico francese. Studiò all'École Normale Supérieure, divenendo assistente nel periodo 1894-97, quando iniziò a studiare i raggi catodici e i raggi X.

  2. Jean Baptiste Perrin ForMemRS (30 September 1870 – 17 April 1942) was a French physicist who, in his studies of the Brownian motion of minute particles suspended in liquids (sedimentation equilibrium), verified Albert Einstein's explanation of this phenomenon and thereby confirmed the atomic nature of matter.

  3. 13 apr 2024 · Jean Perrin. In full: Jean-Baptiste Perrin. Born: Sept. 30, 1870, Lille, France. Died: April 17, 1942, New York, N.Y., U.S. (aged 71) Awards And Honors: Nobel Prize (1926) Subjects Of Study: Brownian motion. cathode ray. colloid.

    • The Editors of Encyclopaedia Britannica
  4. Biographical. Jean Baptiste Perrin was born in Lille, September 30, 1870, where he was educated at the École Normal Supérieure, becoming an assistant in physics during 1894-1897, when he began his researches on cathode rays and X-rays. He received the degree of “docteur ès sciences” in 1897 for a thesis on cathode and Röntgen rays and ...

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    Dans son premier projet de recherche, Jean Perrin a entrepris de résoudre l'énigme de la nature des rayons cathodiques et des rayons X. Sont-ils lumière ou matière ? En 1895, il démontra par des expériences très convaincantes que les rayons cathodiques sont composés de corpuscules de matière chargés négativement. En 1896, il constata que les rayons...

    Durant la Première Guerre mondiale, Jean Perrin a conçu et mis au point divers appareils stéréo-acoustiques pour localiser les batteries d'artillerie et les sous-marins ennemis. Après la guerre, il a poursuivi son activité pédagogique comme auteur d'ouvrages et d'articles pour les étudiants et le grand public. Parallèlement, il a consacré beaucoup ...

    Jean Perrin était membre de l'Académie des sciences de Paris, de la Royal Society de Londres, de l'Académie royale de Belgique et de bien d'autres académies. Il était Grand-officier de la Légion d'Honneur. Jean Perrin est mort en exil volontaire à New York en 1942. Ses cendres, ainsi que celles de son confrère et ami Paul Langevin, ont été transpor...

    Jean Perrin a deux sœurs aînées : Eugénie, née en 1858, et Marie Rose, née en 1867. Eugénie épousera son cousin germain, François Leprêtre, médecin-major de 1re classe, à Lyon le 24 juin 1882. Marie Rose, institutrice, épousera Gustave Bernard, instituteur, à Sourdun. À la suite du décès de son mari, elle se remariera, le 25 novembre 1911, avec Pie...

    À la mort de son mari, Thérèse Perrin-Lasalle ne dispose que de sa pension de veuve d'officier et des revenus d'un bureau de tabac6. Les ressources de la famille sont faibles. Jean est boursier de la IIIe République. Il effectue ses études primaires au petit lycée de Saint-Rambert, devenu le lycée Jean Perrin en 1949, et ses études secondaires au g...

    Jean Perrin entre à l'École normale supérieure à l'automne 18918. Il y étudie de 1891 à 1894, date à laquelle il est reçu au concours d'agrégation de physique. Parallèlement avec ses études à l'ENS, il suit les cours à la Sorbonne où il obtient la licence ès sciences mathématiques et la licence ès sciences physiques. De 1895 à 1898, il occupe les f...

    En 1898, Jean Perrin postule à la fonction de chargé de cours de chimie-physique de la faculté des sciences de l'université de Paris. Il est en concurrence avec Pierre Curie. Bien que plus jeune que Curie, Perrin obtient le poste à la faveur de son statut de normalien et d'agrégé. Le fait que le rapporteur de sa candidature, Henri Poincaré, soit pl...

    C'est en janvier 1898 que le célèbre \"J'accuse\" d'Émile Zola, en première page de l'Aurore, déclenche l'Affaire Dreyfus. Lucien Herr, bibliothécaire de l'ENS, lance une pétition en faveur de la révision du procès, pétition qui recueille les signatures des normaliens, des professeurs, des écrivains, des journalistes, des artistes, première manifes...

    C'est dans le cadre de l'École normale supérieure, et dans le contexte de l'affaire Dreyfus, que Jean Perrin s'entoure d'un groupe d'amis indéfectibles, par affinités politiques notamment : ils sont tous socialisants, et farouchement dreyfusards. Il s'agit d'Émile Borel, de Pierre et Marie Curie et de Paul Langevin. Ils militent tous à Ligue des dr...

    Au cours de leur longue amitié, ils organiseront des dîners entre intellectuels, auxquels participent Paul Painlevé, Paul Adam, Charles Péguy, Léon Blum, Édouard Herriot, entre autres. En 1906, est créée par Borel et sous l'impulsion de ce groupe La Revue du mois, qui regroupe, dans son comité de rédaction, outre Perrin et Langevin, Aimé Cotton, Ja...

    En 1907-1909, Jean Perrin publie une série d'articles sur le mouvement brownien dont il fait une synthèse sous le titre Mouvement brownien et réalité moléculaire16 publié dans les Annales de Chimie et de Physique en 1909. Cet article, immédiatement traduit en anglais, contribue à sa notoriété scientifique en France et à l'étranger. En 1910, Jean Pe...

    À la déclaration de guerre, Jean Perrin a 43 ans. Il ne semble pas avoir été rappelé dans une unité de l'armée. Au cours de l'été 1914, les physiciens français se mobilisent pour apporter leur concours à la défense nationale. Jean Perrin, Paul Langevin, Ernest Esclangon, Aimé Cotton orientent les recherches de leurs laboratoires vers la détection d...

    Pendant ce temps, le système de localisation Cotton-Weiss se révèle moins efficace face aux nouveaux canons allemands. Lorsque les obus sont animés d'une vitesse supérieure à la vitesse du son, il se crée une onde de choc qui a été décrite dès 1886 par le physicien autrichien Ernst Mach. Cette onde de choc, ou onde de Mach, accompagne le projectile...

    Jean Perrin tente d'appliquer le même principe avec des hydrophones pour la détection des sous-marins. C'est d'ailleurs par décret du ministre de la Marine qui il est promu au grade d'officier de la Légion d'Honneur en 1920 avec la mention suivante

    Il reçoit le prix Nobel de physique de 1926 « pour ses travaux sur la discontinuité de la matière, et particulièrement pour sa découverte de l'équilibre de sédimentation. »27 Plus explicitement, le jour de la remise du prix, Carl Benediks, membre du comité Nobel qui avait défendu sa candidature, précisa que « lobjet des recherches du professeur Jea...

    Le 2 mars 1927, Paul Appel, président de la Fondation Rothschild, Charles Moureu et Jean Perrin présentent, dans une note à l'Académie des sciences, la création d'une seconde Fondation Rothschild dédiée à l'établissement d'un Institut de biologie physico-chimique. Les plans de cet Institut sont établis par Jean Perrin (physique), André Mayer (biolo...

    En 1932, la deuxième fondation Rothschild absorbe la première. Les nouveaux statuts de la Fondation stipulent que « L'Institut de biologie physico-chimique n'est pas destiné à recevoir des chercheurs temporaires et on n'y admettra que des collaborateurs dont le séjour sera prévu pour une durée de plusieurs années. » Le métier de chercheur à plein t...

    L'Institut de biologie physico-chimique a des moyens financiers très importants. « L'Institut abritait des biologistes, des biochimistes, des chimistes, des physiologistes et des physiciens pour qu'en travaillant les uns près des autres, leur collaboration puisse être journalière. Ainsi l'avait voulu le fondateur. » En pratique, il y a eu très peu ...

    Jean Perrin adhère à l'Union rationaliste dès sa création en 1930 et est membre du conseil de direction. Cette organisation se fixe pour programme de « Défendre et répandre dans le grand public l'esprit et les méthodes de la Science pour lutter contre irrationalisme, et plus encore, l'ignorance, en groupant nombre de savants disposés à dérober quel...

    Dans les années 1930, Henriette Perrin-Duportal publie chez Nathan, sous son nom de jeune fille, une série de livres pour enfants autour du personnage de Georgie, qui est un avatar de son petit-fils Georges Lapicque37. Elle meurt le 9 novembre 1938.

    Le 10 juin 1940, Jean Perrin, accompagné de sa collègue Nine Choucroun, quitte Paris avec le gouvernement, qui se réfugie à Bordeaux devant l'avancée allemande. Le 21 juin, il embarque à bord du paquebot Massilia, à destination de Casablanca. Le navire est en rade et l'embarquement se fait en chaloupe. Marcelle Huisman, citée par Micheline Charpent...

    À la fin juin 1941, Emile Borel et son épouse viennent passer trois jours à Lyon en compagnie de Jean Perrin qui les quitte à la gare de Perrache comme s'il s'en allait définitivement vers le Sud-Ouest42. Mais il est revenu car Jean Cabannes rapporte avoir été témoin d'un entretien émouvant entre Charles Fabry et Jean Perrin, près de Toulon, à la f...

    Jean Perrin meurt trois semaines plus tard. Par une petite annonce parue dans le JAMA46, on apprend que Jean Perrin vivait chez son fils, Francis Perrin, visiting professor de physique et de mathématiques à l'Université Columbia, et qu'il est mort le 17 avril 1942 au Mount Sinai Hospital. Henri Focillon, qui enseigne à Yale à New Haven mais ne peut...

    En 1948, le cercueil de Jean Perrin est transféré de New York à Montréal où le croiseur Jeanne d'Arc le prend en charge pour le rapatrier. Le 17 juin, il est accueilli à Brest par sa famille, quelques amis et Jean Cabannes, représentant l'Académie des Sciences43. Le lendemain, le cercueil est reçu solennellement dans la cour d'honneur de la Sorbonn...

    Le centenaire de la naissance de Jean Perrin a été célébré par un colloque à l'Académie des sciences, le 13 octobre 1970, au cours duquel trois orateurs ont exposé différents aspects de son œuvre scientifique:

  5. Perrin, Jean-Baptiste Enciclopedia on line Fisico (Lilla 1870 - New York 1942), prof. di chimica fisica alla Sorbona (1898-1940), membro dell'Accademia delle scienze di Parigi (dal 1923), creatore del Centro nazionale di ricerche scientifiche; premio Nobel per la fisica (1926), per fondamentali ricerche su proprietà connesse alla struttura ...

  6. Jean Baptiste Perrin. The Nobel Prize in Physics 1926. Born: 30 September 1870, Lille, France. Died: 17 April 1942, New York, NY, USA. Affiliation at the time of the award: Sorbonne University, Paris, France. Prize motivation: “for his work on the discontinuous structure of matter, and especially for his discovery of sedimentation equilibrium”